29 novembre 2018

Fuites d'eau sur le domaine public


Qui alerter sur la zone de LTC ?

- Du lundi au vendredi de 8h30 à 12h00 et de 13h30 à 17h30 : 02 96 05 60 90
- En dehors des heures d'ouverture :
  02 96 05 60 90 puis un message enregistré vous indique le numéro d'astreinte.

LINKY : 

Adresse de Solution 30 (les poseurs de LINKY) :


Solution 30
Rue Chante-coq
92800 PUTEAUX 

Une vidéo d’élu :

Le maire de Waziers prend en compte les questions de ses administrés, rencontre un responsable de chez ENEDIS et s’exprime dans une vidéo en date du 15 octobre 2018 : hhttps://www.qwant.com/?q=youtube%20maire%20de%20waziers&t=videos&o=0:e862fe3514937301b0acff0042cd5926

20 octobre 2018

 

Réflexion sur la facture EDF/ENEDIS et LINKY

Comment un compteur connecté (objet connecté) va-t-il nous aider pour faire des économies?
Il y aura toujours (voire plus) 67,94% de taxes et de contributions.
MA FACTURE D'ELECTRICITE (base 6kVA) :




LINKY : à visionner :


La vidéo de l'intervention de S. Lhomme.
Synthèse passionnante et simple de la situation (même au plan juridique) : C'EST ICI

Les liens vers les vidéos de la conférence-débat du 13 décembre 2017 sont toujours ici :


Interview BOURDIN SUR RMC

6 octobre 2018


LINKY.

Actuellement, sur Pleumeur Bodou, ENEDIS, via la société SOLUTIONS30, fait le forcing pour poser ses compteurs électriques connectés - qu'ils nomment "communicants" -.
Nombre d'entre vous nous demandent s'il existe un modèle de lettre pour refuser la pose de cet objet connecté, pardon, de ce compteur communicant.

Voici un modèle de lettre dont vous pourrez vous inspirer :

Pensez également à envoyer sa copie à nos élus locaux, départementaux, régionaux, etc.





 


LINKY : "Le silence des élus".

Interpellés sur ce compteur LINKY la plupart de nos élus (dont maires) restent bien silencieux. Interrogés, c’est le grand silence. Ils préfèrent laisser faire l’opérateur historique ou se réfugient derrière le SDE (syndicat départemental d’énergie) au lieu d’écouter et informer leurs administrés dont ils se disent les représentants élus !

Cet équipement qui relève du domaine des « objets connectés » n’est visiblement pas au point : incidents électriques (électroménager, domotique), accidents, incendies, surfacturation. Pour prétendre poser ce compteur l’opérateur historique et la société de sous-traitance ont un comportement inacceptable: information préalable non signée, usage illégale du logo CNIL,  rendez-vous non-tenu, arguments fallacieux, menaces voire violences, compétences et qualifications d’électriciens douteuses, tentative de passage en force, harcèlement. De plus ce LINKY ne semble pas actuellement homologué (usage) par l’Europe.

Votre compteur actuel appartient à la commune : s’il y a délégation d’entretien et de conseil au SDE, il n’y a pas délégation de patrimoine et de propriété de manière générale. Alors on va jeter tous nos compteurs actuels à la benne et nous faire payer ce nouvel équipement en nous parlant d’écologie verte, de facilité de gestion, de souplesse et autre économie circulaire?

Bon nombre de communes n’expliquent rien, ne s’investissent pas pour informer et organiser des réunions à cet effet : courage, fuyons ? Heureusement, quelques 700 maires se sont élevés avec courage, pragmatisme et humanisme pour défendre le libre choix de leurs concitoyens ! EDF/Enedis laissent des tas de courriers et interpellations fondées sans réponse et ne parle que du service d’intérêt général - le sien surtout ! -.

Vous êtes libre d’accepter ou non cet objet connecté. Nous vous invitons à réfléchir et à vous questionner sur ce nième moyen connecté et imposé au nom du sacrosaint « big data ».  Aux USA, Canada, Italie, Allemagne ils sont démontés à la demande des dirigeants.

Il faut un moratoire arrêtant ce déploiement incité ou soutenu par l’inertie des dirigeants. Sinon cela finira comme l’amiante, le sang contaminé, la radioactivité des Iles du Pacifique, le chlordécone aux Antilles, le nuage de Tchernobyl. Aujourd’hui, ceux qui disent « j’assume »  ne seront plus là demain !

Philippe Blondé et Patrice Desclaud.
 

 

Pleumeur Bodou Nature a, par deux fois, demandé au maire de Pleumeur Bodou, d'organiser une séance d'information au profil des Pleumeurois.

Restés sans réponse, voici les deux courriers expédiés en recommandé.


- Courrier du 28 décembre 2017 :

- Courrier du 20 mars 2018 :

8 juillet 2018

EXTRACTION DE SABLE COQUILLIER

EN BAIE DE LANNION.

 

A l’occasion de la visite du Président de la République en Bretagne, la Presse s’est faite l’écho de ses déclarations au sujet de l’extraction de sable coquillier en Baie de Lannion.
Si certains se sont immédiatement réjouis et ont crié victoire, d’autres comme Pleumeur Bodou Nature ont analysé les propos du Président de la République.
Dans Ouest-France on a pu lire : « Les conditions ne sont aujourd’hui pas satisfaisantes. Nous avons demandé au groupe Roullier de faire des propositions pour qu’on puisse combiner les intérêts légitimes du groupe et les préoccupations des associations. Il faut que les gens sachent se parler. Des négociations vont être ouvertes. ».
 

PLEUMEUR BODOU NATURE REPOND.

 
« Les conditions ne sont aujourd’hui pas satisfaisantes... ».
Cela peut également vouloir dire que « Les conditions » (d’exploitation) pourraient devenir satisfaisantes! Et pour qui et comment? Tout simplement pour la C.A.N., qui est une filiale du groupe Roullier, en modifiant pour la énième fois ces conditions (volume par exemple). Une fois de plus on ne parle que des conditions et non des conséquences.
 
« … Nous avons demandé au groupe Roullier ... ».
C’est la première fois qu’officiellement un élu de la République nomme ce groupe. Jusqu’ici c’était la CAN (Compagnie Armoricaine de Navigation) qui était nommée ; d’ailleurs c’est cette filiale du groupe Roullier qui a déposé le dossier d’exploitation et qui a obtenu à la fois un décret ministériel approuvé en Conseil d’Etat et les autorisations préfectorales d’extraction. Donc on peut aujourd’hui affirmer que depuis le début de cette histoire c’est le groupe Roullier qui est aux commandes ; mais ce n’est pas vraiment un scoop.
 
« ... de faire des propositions pour qu’on puisse combiner les intérêts légitimes du groupe et les préoccupations des associations… ».
Combiner les intérêts légitimes du groupe Roullier et les préoccupations d’associations ? Voici créée une bien grande marche avec, en haut, des « intérêts légitimes » et en bas des « préoccupations d’associations ». Aspirer du sable coquillier au détriment de la vie sous-marine serait donc légitime ! Messieurs du groupe Roullier, sachez que les « préoccupations » ne sont pas seulement celles des associations mais celles des Trégorroises et Trégorrois et même de tous les Français. Les associations ne font que fédérer l’énergie de la colère ! Quel manque de respect pour nous.
Le groupe Roullier aurait donc des intérêts à agir. Mais alors, pourquoi le groupe Roullier n’a-t-il pas déposé lui-même le dossier de demande d’extraction et obtenu le décret (et donc le titre minier) valable jusque 2030? Pourquoi ce groupe mondial a-t-il laissé faire sa filiale ? Aujourd’hui, dans l’impasse, ce sont les « têtes » qui reprennent la main ; curieuse méthode.
 
« … Il faut que les gens sachent se parler… ».
Mais nous savons nous parler ! Simplement, personne dans le groupe Roullier ne veut entendre la réaction populaire ! Nous avons démontré plusieurs fois et officiellement que l’étude du document initial de la C.A.N. ne tient pas la route. Nous avons prouvé que les besoins en sable coquillier sont largement couverts par les extractions aux Duhons, à La Cormorandière et à La Horaine. Nous avons prouvé qu’un désastre écologique aurait lieu dans la zone des 7 Iles et au-delà.
« Que les gens sachent se parler » veut peut être dire que nous devons écouter et approuver béatement les arguments du groupe Roullier qui légalement a un intérêt (financier)à aspirer à bas coût le sable coquillier sans tenir compte du rôle vital de cette dune située à 4km du bord de mer.
 
« ... Des négociations vont être ouvertes. »
Il n’est donc pas opportun d’être optimiste ou pessimiste (1) car nous n’en sommes qu’à l’idée de négociations.
Mais négocier quoi ? Il n’y a rien à négocier. La nature ne se négocie pas, on la protège pour ce qu’elle nous donne.
 

QUELQUES POINTS POUR BIEN SE SITUER.

 
1-        Ne pouvant plus extraire le maerl depuis 2013, la CAN invoque la nécessité comme prétexte à l’extraction de sable coquillier dans la baie de Lannion, la nécessité absolue de l’amendement des sols bretons pour justifier  sa démarche. Elle obtient, par décret du 15 septembre 2015 signé par Messieurs VALLS et MACRON, la possibilité de le faire avec une autorisation annuelle préfectorale.
2-        Le potentiel d’extraction actuel de la CAN est le suivant (Côtes d’Armor et Finistère) :
  • La Cormorandière pour 20 000 m³/an jusqu’en (CAN + COPERMER),
  • Les Duons pour 50 000 m³/an,
  • La Horaine pour 125 000 m³/an.
Soit un potentiel annuel de 195 000 m³/an.
La SAU (Surface Agricole Utile) de la Bretagne est de 1 635 990 ha.
Le pH moyen est de 6,3.
L’amendement à l’hectare est compris entre 100 et 300 kg/ha et par an (soit entre 0.083 et 0.250 m³/ha par an).
Le besoin annuel en sable coquillier est donc compris entre 45263 m³ et 136 335 m³. (2).
Ce besoin est donc largement couvert par le potentiel des trois sites actuels et ceci jusque 2035/2036.
3-       Le besoin en amendement des sols bretons est réel, cependant les quantités nécessaires à ce besoin ne justifient pas l’extraction de sable coquillier sur un quatrième point et qui plus est, en Baie de Lannion et dont l’écosystème est équilibré.
4-        13 communes et 4 manifestations regroupant des milliers de gens (du Trégor et d’ailleurs) sur terre et sur mer ont stoppé temporairement l’extraction de ce sable particulier.
5-        Il n’est pas évoqué directement la partie de l’exportation à l’étranger de cette matière première, seuls les organismes officiels pouvant mener légalement ce type d’enquête. Le sablier « Côte de Bretagne » (propriété de la CAN) a pompé aux environs de 182 000 m³ de sable coquillier en 2017 et 69 000 m³ au 15 juin 2018.
 

ET MAINTENANT ?

 
Nous serions au point de départ d’une négociation entre le groupe Roullier et le gouvernement. Est-ce cela le dialogue ? Où sont les associations  dans cette nouvelle démarche ?

Le danger est loin d’être écarté, il nous faut rester vigilent (comme depuis 2015) et être prêt à démontrer, encore et encore qu’il n’y a rien à négocier !

 
Philippe Blondé pour le CA de Pleumeur Bodou Nature
 
(1) un pessimiste est un optimiste qui a de l’expérience.
(2) Source : Chambre de l’Agriculture Bretonne.
 
 
 

18 avril 2018


ANTENNE FREE SUR LE TERRAIN DU GOLF

Cet article a pour but de présenter la situation actuelle dans le projet d’érection d’une antenne relais de 30 m sur le terrain du golf de Saint Samson. Cette zone est classée NTg au PLU de la commune et inconstructible sauf  pour des réalisations directement liée aux activités du golf (Cf. les pages 15, 70, 75 et 75 du règlement du PLU sur le site de la commune).
Si pour autant les opérateurs de téléphonie mobile ont reçu pour mission de couvrir le territoire avec la 4G - chose d’ailleurs attendue légitimement par leurs clients -, il ne peut être admis n’importe quoi quant aux lieux d’implantation ainsi qu’à l’irrespect des règles d’urbanisme. D’autant qu’une antenne de cette taille aura un impact négatif non négligeable sur la valeur immobilière des habitations riveraines ; de nombreuses jurisprudences et jugements en témoignent.
Pleumeur Bodou Nature a proposé une alternative de lieu, dès le recours gracieux, mais tant FREE que la commune n’ont pas pris en compte cette proposition.
Aujourd’hui, alors que le jugement sur le fond de cette affaire n’a pas encore eu lieu, force est de constater (photos dans l’article précédent) un début de travaux avec l’amenée de câbles électriques dans le chemin en bas de l’allée romaine et qui rejoint le carrefour de Kerguntuil.
Vous trouverez, ci-après, la chronologie des évènements jusqu’à ce jour.

Ce qui s’est passé depuis le 30 mai 2016 jusqu’à aujourd’hui.
o    Le 30 mai 2016 l’opérateur de téléphonie mobile FREE MOBILE dépose une demande de travaux (DP 02219816 C0049) pour l’érection d’un pylône de 30m de hauteur pour antennes 4G sur la parcelle BA126 du Golf de St Samson. Cette parcelle est classée NTg (zone Naturelle de Tourisme loisir et parcours de Golf).
o    Le 06 juillet 2016 cette demande de travaux est accordée sans opposition par arrêté municipal. L’affichage de cette DP est déposé au petit carrefour entre la route de Kerguntuil et le chemin de l’Allée Romaine ; sans contigüité avec la parcelle d’implantation.
o    Le 10 août 2016 l’association Pleumeur-Bodou Nature organise une réunion publique  à Kérénoc pour expliciter ce projet, avec ses tenants et aboutissants. Il fût décidé majoritairement de recourir si nécessaire, après entrevue avec Monsieur Le Maire.
o    Le 21 septembre 2016, sous la pression populaire des administrés (plusieurs recours gracieux ou courriers), Monsieur le Maire de la commune de Pleumeur-Bodou s’est finalement opposé (arrêté du 05/12/2016) à cette demande de FREE en retirant sa non opposition précédente (en s’opposant cette fois) et en en ayant fait part préalablement au pétitionnaire d’après ses dires.
o    Le 11 octobre 2016 FREE redépose une nouvelle demande de travaux modifiée (hauteur de 25m, couleur verte, positionnement un peu différent) auprès de la Mairie de Pleumeur-Bodou, sur la même parcelle sur le Golf de St Samson.
o    Le 05 décembre 2016 le maire de la commune informe le pétitionnaire de son avis d’opposition aux travaux déclarés.
o    FREE saisi le Tribunal administratif de Rennes par un référé pour faire annuler la décision du Maire de la commune. Le TA de Rennes par jugement en date du 27 janvier 2017, intime l’ordre au Maire de ne pas s’opposer à une telle demande de déploiement d’ordre public national de la 4G en ce lieu et d’accorder sous un mois  un nouvel arrêté avec avis de non opposition à la demande de travaux d’octobre 2016.
o    Cette demande préalable est alors approuvée par arrêté municipal en date du 15 mars 2017, donnant satisfaction à FREE et fait l’objet d’un nouvel affichage en Mairie et cette fois sur le terrain concerné, mais non visible de la voie publique.
o    Pleumeur-Bodou Nature dépose donc un recours gracieux à l’encontre de cette nouvelle demande, le 11 mai 2017.
o    Le 30 juin 2017 Monsieur le maire de Pleumeur-Bodou adresse un courrier à entête daté du 13 juin 2017 mentionnant qu’il ne peut donner à l’association une suite favorable à son recours. Cette démarche valant rejet, alors explicite, du recours gracieux.
o    De ce fait un nouveau délai de recours s’est ouvert à cette date pour procéder au recours contentieux initial, par notre association Pleumeur-Bodou Nature.
o    Pleumeur-Bodou Nature, sans attendre,  adresse  un recours contentieux initial au TA  de Rennes, ainsi qu’aux parties, le 13 juillet 2017.
o    Depuis cette date, Monsieur le Maire de Pleumeur-Bodou n’a pas donné signe à notre recours contentieux.
o    En date du 29 août 2017 le greffier du TA de Rennes adressait à Pleumeur-Bodou Nature, un mémoire de FREE.
o    PB-N a transmis son mémoire en réplique, avec copie au Maire de Pleumeur-Bodou, à FREE et  à la Sous-préfecture, le 22 septembre 2017.
o    Le 27 décembre 2017 le greffier du TA de Rennes adressait à Pleumeur-Bodou Nature, un deuxième mémoire de FREE.
o    PB-N transmet en réponse, son deuxième mémoire avec copie au Maire de Pleumeur-Bodou, à FREE et à la Sous-préfecture, le 12 janvier 2018.
o    Le mardi 27 mars 2018 des travaux importants d’électricité ont débuté, réalisés par la société CEGELEC, au bas de l’allée romaine (voie publique), avec tranchées et pose de câbles, coffret  jusqu’à l’entrée de la parcelle visée par l’opérateur mobile FREE.
o    Pleumeur-Boudou Nature prépare un référé suspension, au cas où FREE tenterait de passer en force par des travaux (fondations/dalle béton) sur la dite parcelle. 

Pourquoi cette démarche de Pleumeur Bodou Nature ?
·        Parce qu’elle a reçu l’aval et l’appui des adhérents et des sympathisants.
·        Parce ce que sa devise est : «Pour un développement concerté dans un environnement naturel», ce qui est le cas ici.
·        Parce que ni concertation ou ni réponse n’ont fait suite à notre proposition d’alternative de lieu (mépris ?).

12 avril 2018


ANTENNE FREE AU GOLF DE SAINT SAMSON


Depuis le mardi 27/03/2018 la CEGELEC (Cie Générale d'Electricité) creuse une tranchée et pose deux câbles électriques sur le chemin de Kerguntuil ebtre les dernières maisons et l'entrée du terrain du golf au niveau du débouché de la voie romaine.

Un coffret est maintenant installé en limite du terrain du golf. Renseignements pris, il s'agirait  bien de l'alimentation électrique destinée à l'antenne FREE.

Dans la mesure de vos moyens et de votre disponibilité, nous faisons appel à votre vigilance pour nous avertir de tout mouvement ou de début de fouille (fondations). Si vous le pouvez, faites des photos.

Merci d'avance pour ce que vous ferrez.

Cordialement
Philippe Blondé
 
 

4 avril 2018


LINKY


franceinfo fait un point pour répondre à : "...pourquoi ils sont devenus militants contre les compteurs Linky"

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